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Quelques nouvelles rassurantes du Pat, obtenues par Manu auprès de sa cousine Steph (la femme au Seb Gerdy)

Il serait complètement réveillé et reconnait tout le monde, se souvient de l’accident….. et il commencerait même a déconner, signe très positif….
Voilà, on pense que l’on pourra lui rendre visite très bientôt…

A+
Millou

Au terme d’une splendide action de 50 mètres, Del Fabbro s’écroule dans l’en-but dolois pour marquer l’unique essai de la rencontre. Genlis revient alors à 9-8. Pierre Duverne est obligé d’enquiller une transformation difficile en coin pour mettre les siens devant. Face au vent et sous les sifflets du public, l’ouvreur bourguignon dévisse sa frappe et offre la victoire aux Dolois.
Les locaux peuvent lever les bras, ils viennent de mettre à terre une équipe de Genlis, qui a réagi beaucoup trop tard pour l’emporter. Face au vent, les Dolois se sont superbement comportés en première période. Les avants se chargent de prendre l’ascendant dans le combat, alors que Marc Humblot distille parfaitement le jeu par de longs coups de botte idéalement placés.
Un rush final insuffisant
A cours d’arguments, les Tangos tentent de lancer le jeu au large mais quelques maladresses les empêchent d’avancer (8 ballons perdus lors des 40 premières minutes). C’est d’ailleurs sur un en-avant de Deher repris hors-jeu que Marc Humblot ouvre la marque (3-0, 10e).
Indisciplinés, les visiteurs laissent les Dolois s’installer dans leur partie de terrain. Marc Humblot concrétise une nouvelle pénalité face aux perches juste avant la pause pour donner six points d’avance à ses couleurs siens. Dès l’entame de la seconde période, Deher, Chanut et Alvarez affolent tour à tour la défense locale. Marc Humblot parvient toutefois à claquer un drop (50e), mais ce sont désormais les Genlisiens qui sont maîtres de leur sujet.
Duverne ramène les siens à 6 points (9-3, 21e). Genlis sont alors déchaînés mais manquent de lucidité dans le dernier geste. Solides en défense, les locaux ne craquent qu’à une seule reprise lors de cette fameuse dernière minute. Sans conséquence. Dole réalise l’excellente opération du week-end.
DOLE 8
GENLIS 9
Dole. – Dole-Genlis : 9-8 (6-0). Arbitre : M. Prache (Ile-de-France). 700 spectateurs.
Dole : 2 pénalités (10e et 39e), 1 drop de M. Humblot (50e).
Genlis : 1 essai de Del Fabro (80e), 1 pénalité de Duverne (61e)
Cartons jaunes à Genlis : Teixeira (36e), Monot (47e) ; à Dole : Pacot (13e), Dourthe (73e).

Pour une première, 200 personnes se sont retrouvées à la salle des fêtes d’Authumes. Bonne soirée (photos à l’appui, et encore Willy a trié), quelques loupés on s’en excuse on fera mieux l’année prochaine…..

Un grand merci à tous les artrosiens qui ont participé à l’organisation de cette soirée, mention particulière à Willy, merci a ceux qui ont sacrifié leur soirée pour le service en salle (pas une mince affaire), aux filles pour la vaiselle et à Roland pour qui la gestion d’une buvette n’a plus de secret (facile à reconnaitre sur les photos, son fidèle bêret et ses lunettes sur le nez)

Merci a toutes et tous pour cette soirée, votre participation et votre implication va permettre a Marina de réaliser son rêve……………

à la prochaine !!!

Après un instant de réflexion, j’ai décidé d’effacer, supprimer et arrêter le blog. Pourquoi?? Eh bien parce que je n’ai plus le temps, plus l’envie…

Voilà mes derniers aveux en vidéo. Adieu.

Quel est le plus grand rocker de l’histoire ? Freddy Mercury bien sûr ! Et puis franchement, à part Johnny, Billy Idol et Scorpions, qui peut aujourd’hui se revendiquer être rock ?

Vous pensez que j’ai trop abusé de la bouteille ? Détrompez-vous, je ne fais que relayer l’expertise d’Eddie Queen, un pur rocker, un dur (il a un vrai T-shirt de gros-dur). Comme le dit notre ami, « Eddy Mitchell, c’est une tapette » et « Les Stones c’est pas du rock ». Si vous ne nous croyez pas, regardez cette vidéo mémorable !

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Les Epleumiens poursuivent leur dégringolade au classement après leur cinglant échec à Dole. Le prochain rendez-vous face à Champangole s’annonce vital. On joue la 48e minute. On s’ennuie ferme. Guillaume Marotte fait sa rentrée. Sur son premier ballon, il monte une quille, son vis-à-vis ne s’arrête pas.
Le Bourguignon prend alors l’ouvreur local en planche au niveau des épaules, découpant son homologue qui n’avait rien vu venir. Il s’en suit de longues minutes de tension, qui auront finalement le grand mérite de réveiller des locaux jusqu’ici transparents. Il était temps ! Après un départ catastrophique et un 8-0 encaissé après seulement trois minutes de jeu, l’USD n’avait pas proposé la moindre action collective notoire.
Indisciplinés en touche, absents du combat, les Dolois multipliaient les mauvais choix. Heureusement pour les Jurassiens, derrière Marc Humblot (7/12 et 2 poteaux) est dans un bon jour et parvient à maintenir l’écart à la mi-temps (9-11).
Marc Humblot permettait cependant aux siens de passer devant (12-11, 47e). Chavanon se faufilait dans la défense adverse en jouant une pénalité à la main et pointait un essai d’opportuniste bienvenu (19-14).
Puis, l’incident survenait. Réduits à 13, les Bourguignons se faisaient une première fois déborder sur un groupé pénétrant ponctué par Pacot (26-14, 66e). C’était le début de la fin pour le duo Chanut/Casting. Le bourreau de Epleumiens, Marc Humblot (23 points) concluait cette belle deuxième mi-temps doloise en inscrivant le dernier essai dans les arrêts de jeu (38-14).
DOLE 38
ST-APO./TALANT 14
Dole. – Dole-St-Apo./Talant : 38-14 (9-11). Arbitre : M. Lopez (Drôme-Ardèche). 250 spectateurs.
Dole : 4 essais de Chavanon (52e), Pacot (66e), F. Humblot (77e), M. Humblot (80e+1), 4 pénalités (21e, 32e, 37e, 47e) et 3 transformations M. Humblot (52e, 66e, 77e).
St-Apo./Talant : 1 essai de Orry (3e), 3 pénalités de Taillardet (1re, 24e, 49e).
Carton jaune St-Apo./Talant : Lacroix (58e).
Carton blanc à St-Apo./Talant : Horst (54e).

En accueillant la lanterne rouge, Dole avait une occasion en or de se racheter. Il faudra repasser pour la manière

Conscients de l’urgence d’agir, Iacob et les siens ont d’abord fait le boulot pour prendre la mesure de leurs adversaires, avant de se mettre tranquillement en hibernation durant toute la seconde période. Une attitude qui faisait fulminer Patrick Marotte : « Il n’y a vraiment pas de quoi être fier, se lamentait l’entraîneur dolois ; on mène de 19 points et là, on arrête de jouer. On ne va plus au combat, on n’est plus concentré ». Du coup, la seconde mi-temps s’est transformée en une longue période d’ennui pour les 350 spectateurs de Bobin : 3 ballons perdus en touches sur 4 lancers (alors que la première mi-temps avait été parfaite avec 12 ballons captés sur 13 lancers), et surtout 26 ballons rendus à l’adversaire (pénalités et balles perdues confondues) en 40 minutes, ça laisse très peu de place au jeu. Les motifs de satisfaction étaient donc bien maigres dimanche soir. Il fallait peut-être aller les chercher du côté des extérieurs : pas toujours mis dans les meilleures conditions, les ailiers qui ont foulé la pelouse dimanche se sont tous montrés à leurs avantages.

Les arrières sauvent l’honneur
Rarement titulaire cette année, Chevassu s’est rappelé au bon souvenir des coachs en n’hésitant pas à s’intercaler régulièrement dans la ligne, toujours avec beaucoup de tranchant. François Humblot, sevré de ballons, a bonifié quasiment le seul ballon qu’il a eu à jouer. Quant à Fèvre, en dedans depuis quelques rencontres, il a de nouveau retrouvé des cannes de feu et surtout une certaine forme de lucidité lui permettant de déstabiliser une défense entière à lui tout seul. Associons à ces trois là un Marc Humblot épanoui au poste d’arrière, aussi bien dans le jeu au large (on ne lui soupçonnait plus autant de rapidité) que dans celui au pied : jeu long et précis (hormis quelques loupés en première période), et une confiance retrouvée dans ses tentatives. À confirmer à Champagnole dimanche.

Les Beaunois ont dû batailler ferme pour signer leur onzième succès d’affilée de la saison face à de solides Franc-Comtois. A défaut d’avoir été brillants, les joueurs du duo Rivier-Descaillot ont fait preuve d’abnégation et de patience dans la difficulté.
Pavary, sur pénalité, se charge d’ouvrir les hostilités (3-0, 5e). La suite est plus brouillonne. Le CSB multiplie les maladresses à l’approche des vingt-deux dolois. Après dix minutes de siège intensif, la persévérance fini par payer lorsque Thomas Drot sort de sa boîte et plonge dans l’en-but visiteur (8-0, 23e). Paravy allonge la note sur pénalité (11-0, 26e).
Mais Beaune peine à imposer son jeu face à des Dolois solides en mêlée et performants en touche. Les locaux se font d’ailleurs surprendre peu avant le repos par Iacob, qui après avoir feinté la passe, accélère irrémédiablement (11-8, 40e).
La seconde période est du même tonneau. Beaune met la pression mais sans succès. Réduit à treize suite à deux cartons blancs, Dole lâche cependant finalement prise. Pour avoir écroulés plusieurs mêlées, les visiteurs sont pénalisés d’un essai de pénalité. Une sanction qui vient logiquement récompenser un temps fort local (21-8, 64e). Le leader n’a pas convaincu mais il demeure invaincu. L’essentiel est préservé.

BEAUNE 21
DOLE 8
Beaune (Stade Jean-Guiral). – Beaune-Dole 21-8 (11-8). Arbitre : M. Farion (Lyonnais). 250 spectateurs.
Beaune : 2 essais Tho. Drot (23e), essai de pénalité (64e), 1 transformation (64e), et 3 pénalités Paravy (5e, 26e, 52e).
Dole : 1 essai Iacob (40e), 1 pénalité Humblot (28e).
Cartons blancs à Beaune : Bernia (75e) ; à Dole : Quinard (22e), Knapp (58e), Hernandez (60e).
Réserve : Beaune-Dole 31-0 (5 essais : Mehiaoui (3), Durand, Morillon, 3 transformations Urbaniac (2), Loubet).

Beaune 21
Dole 8
A Beaune, Beaune-Dole 21-8 (11-8). Arbitre : M. Farion (Lyonnais). 250 spectateurs.
Beaune : 2 essais (Tho. Drot 23′ et essai de pénalité 64′), 1 transformation 3 pénalités Paravy (5′, 26′, 52′, 64′).
Dole : 1 essai Iacob (40′), 1 pénalité Humblot (28′).
Carton blanc à Beaune : Bernia (75′); Quinard (22′), Knapp (58′),
Hernandez (60′) à Dole
Réserve : Beaune-Dole 31-0
Les Beaunois ont dû batailler bec et ongle pour signer leur onzième succès de la saison face à des Jurassiens solides en mêlée.
Pavary, sur pénalité, se chargeait d’ouvrir les hostilités (3-0, 5′). La suite
était un peu plus brouillonne. Après dix minutes de siège intensif, la persévérance finissait par payer lorsque Thomas Drot plongeait dans l’en-but visiteur (8-0, 23′). Paravy allongeait la sauce sur pénalité (11-0, 26′).
Mais Beaune se faisaitt logiquement surprendre peu avant le repos par Iacob, qui après avoir feinté la passe, accélèrait côté droit pour s’en aller marquer (11-8, 40′).
La seconde période était du même tonneau: Beaune mettait la pression mais sans succès. Réduits à treize suite à deux cartons blancs, Dole finissait par lâcher prise. Pour avoir constamment fait écrouler les mêlées dans leurs vingt-deux, les visiteurs étaient sanctionnés d’un essai de pénalité.

Et si nous nous étions voilés la face depuis octobre ?

C’est la question que l’on se pose depuis cette honteuse défaite subie par les Dolois, dimanche, à Bobin.
Car, si depuis le départ on encense le jeu des Rouge et Noir fait de mouvements, on évoque également régulièrement le manque cruel de concrétisation dont font preuve les Dolois. Sans avoir jamais trouvé de réponse à cela. Depuis dimanche, on a, peut-être, détecté les premiers symptômes de la maladie : un manque flagrant d’envie et peut-être même un excès de zèle individuel, chacun voulant sauver la face à tour de rôle, en oubliant le collectif.
Combien de fois les attaquants dolois se sont-ils retrouvés isolés de leur soutien, lui-même plus intéressé à couvrir les extérieurs dans l’espoir d’hériter d’un hypothétique renversement d’attaque ?
On ne les a pas comptés, mais c’était quasiment systématique.
Or, avant cela, il faut savoir conserver ses ballons. Il faut qu’il y ait des hommes capables de mettre la tête là ou les Chagnotins n’hésitent pas à en mettre deux. Des hommes capables d’assurer les nettoyages, capables tout simplement de respecter les premiers fondamentaux du rugby. Patrick Marotte ne nous contredisait pas dimanche soir : « Je suis très en colère car on prend une véritable leçon d’agressivité. On a pris l’impact partout, dans toutes les lignes.
On a X pénaltouches à jouer, on se fait à chaque fois désagréger par leur agressivité. Cela devient inquiétant, car sur les quatre derniers essais qu’on prend, ce sont à chaque fois sur des séries de pick and go que l’on ne sait pas stopper ».
Déçu et très énervé, l’entraîneur dolois a prévenu ses joueurs dès dimanche soir : « Puisque l’on doit en venir là, on va le faire : cette semaine, à l’entraînement, on va faire du petit périmètre et se rentrer dans la g Quitte à avoir des blessés, mais c’est ça ou dimanche, on revient de Beaune avec 40 points ».
Chez le leader bourguignon, papillonner sur les extérieurs risque de coûter cher. Un retour à la mine est donc fortement souhaité…